La fin tragique de Gustave, un amour de lapin nain à son Papa…
Une dame, derrière les cages vitrées des animaux, nous a présenté les pensionnaires du moment. J’en ai repéré un, qui me faisait rire, avec ses oreilles en berne. La vendeuse m’a précisé que c’était un lapin bélier, une espèce particulièrement calme.
Le petit bélier à poil gris s’est agité, rapidement maîtrisé par les mains expérimentées de la vendeuse.
« Voulez-vous le prendre dans vos bras ? »
Je l’ai pris, et le petit lapin gris aux oreilles tombantes s’est retrouvé blotti contre mon torse.
J’ai reniflé son odeur.
Je lui ai dit « Bonjour ». Ses narines ont frémi ; j’ai dit à Adélie :
« C’est lui. C’est Gustave. »
Il ne semble pas encore y avoir de sujet sur cet ouvrage sur le forum... Cliquez ici pour en créer un !
Soumis le 15/02/2020 par El Marco