À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un nourrisson échappant aux bombardements alliés dans les bras d'une scientifique et dans lequel subsistent de bien étranges espoirs. De nos jours, au Népal, des moines bouddhistes détruits par un mal indescriptible. Un exemplaire d'une Bible ayant appartenu à Charles Darwin mis aux enchères et déclenchant des passions meurtrières. En Afrique, une femme emportée par une créature mystérieuse. Au cœur de ces quatre énigmes, un secret monstrueux que tentaient de s'approprier les nazis et qui semble être sur le point de se concrétiser.
Deuxième opus de la série consacrée à la Sigma Force après L'Ordre du dragon, La Bible de Darwin se présente comme un film d'action typiquement américain porté sur papier, sans que cette formule soit pour autant péjorative. Arcanes et rebondissements s'enchaînent au gré de chapitres courts et rythmés, l'action ne manque pas, et les scènes trépidantes de combat foisonnent. Du coup, de nombreux personnages peinent à prendre de la profondeur sous la plume de James Rollins, mais cet écueil fait presque partie des désagréments du genre. L'intrigue a été intelligemment pensée et le roman bien bâti, permettant au lecteur de ne jamais s'ennuyer. Au fil des pages, sur de nombreux continents, on explore de multiples domaines, des ténèbres du nazisme avec le mythe du surhomme en passant par l'évolution darwinienne et la physique quantique. James Rollins réussit à habiller son livre très dynamique de notions qu'il vulgarise avec succès, au point de les rendre accessibles alors qu'elles paraissaient pourtant impénétrables pour le commun des mortels. Et si l'ensemble se lit avec avidité, avec comme premier objectif de longues heures de détente, ce livre s'extrait de la masse d'ouvrages traitant de la mystique aryenne grâce à une idée originale et captivante, même si elle demeurera bien trop irréelle aux yeux de nombreux lecteurs, rappelant en cela le final de Genesis de John Case.
Alerte dans sa forme, atypique dans le fond à quelques reprises, La Bible de Darwin constitue un thriller très détendant. Les amateurs du genre y trouveront certainement leur bonheur tandis que les autres, habituellement hermétiques aux romans fondés sur l'action pure et les complots à l'échelle mondiale, verront s'ouvrir, grâce à cet opus de James Rollins, d'agréables parenthèses de réjouissance.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, un nourrisson échappant aux bombardements alliés dans les bras d'une scientifique et dans lequel subsistent de bien étranges espoirs. De nos jours, au Népal, des moines bouddhistes détruits par un mal indescriptible. Un exemplaire d'une Bible ayant appartenu à Charles Darwin mis aux enchères et déclenchant des passions meurtrières. En Afrique, une femme emportée par une créature mystérieuse. Au cœur de ces quatre énigmes, un secret monstrueux que tentaient de s'approprier les nazis et qui semble être sur le point de se concrétiser.
Deuxième opus de la série consacrée à la Sigma Force après L'Ordre du dragon, La Bible de Darwin se présente comme un film d'action typiquement américain porté sur papier, sans que cette formule soit pour autant péjorative. Arcanes et rebondissements s'enchaînent au gré de chapitres courts et rythmés, l'action ne manque pas, et les scènes trépidantes de combat foisonnent. Du coup, de nombreux personnages peinent à prendre de la profondeur sous la plume de James Rollins, mais cet écueil fait presque partie des désagréments du genre. L'intrigue a été intelligemment pensée et le roman bien bâti, permettant au lecteur de ne jamais s'ennuyer. Au fil des pages, sur de nombreux continents, on explore de multiples domaines, des ténèbres du nazisme avec le mythe du surhomme en passant par l'évolution darwinienne et la physique quantique. James Rollins réussit à habiller son livre très dynamique de notions qu'il vulgarise avec succès, au point de les rendre accessibles alors qu'elles paraissaient pourtant impénétrables pour le commun des mortels. Et si l'ensemble se lit avec avidité, avec comme premier objectif de longues heures de détente, ce livre s'extrait de la masse d'ouvrages traitant de la mystique aryenne grâce à une idée originale et captivante, même si elle demeurera bien trop irréelle aux yeux de nombreux lecteurs, rappelant en cela le final de Genesis de John Case.
Alerte dans sa forme, atypique dans le fond à quelques reprises, La Bible de Darwin constitue un thriller très détendant. Les amateurs du genre y trouveront certainement leur bonheur tandis que les autres, habituellement hermétiques aux romans fondés sur l'action pure et les complots à l'échelle mondiale, verront s'ouvrir, grâce à cet opus de James Rollins, d'agréables parenthèses de réjouissance.