« A l’angle de la rue Censier et de la rue de Mirbel, un arbre aux branches étrangement sinueuses se détache en ombre chinoise contre la fac, dans la lueur des réverbères : on le dirait sorti de quelque tableau fantastique. Un arbre fantôme, pareil à celui que Babette avait peint sur le mur de la pièce principale, au-dessus de la cheminée. Autour des rameaux, elle avait inscrit des maximes dans les médaillons en forme de coeur. Peace and love, c’était l’époque... »
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Soumis le 21/08/2008 par Memess