«Attendre en cellule le moment de passer à la chambre à gaz, quand la veille on se promenait à la campagne, libre comme l'air... Avoir perdu toute espèce d'identité, et n'être plus qu'à peine un numéro matricule... Et deviner qu'au dehors une foule de gens très bien vous utilisent à votre insu comme un pion sur un échiquier, intriguent, combinent (et tuent au besoin), – dans le seul but de s'assurer que l'homme jeune, sain, gai et heureux de vivre que vous étiez hier mourra demain étouffé par les gaz...»
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Soumis le 09/12/2018 par El Marco