Spécialiste en analyse des rêves et détective privé, Ludovic Lardennois est appelé en Pologne, à Gdansk, pour étudier le cas d'une jeune fille qui souffre de troubles psychiatriques et rêve chaque nuit d'une femme mutilée. Existe-t-il un rapport entre ces rêves obsédants et La Chambre d'Ambre, un trésor bien connu en Pologne, caché par les nazis à la fin de la seconde guerre mondiale et sur lequel le père de la jeune fille avait travaillé au moment de sa mort, dix ans plus tôt ?
Quatrième roman de Jérôme Bucy, La Chambre d'Ambre captive dès les premières pages par son ambiance mystérieuse et sombre. L'auteur nous emporte immédiatement dans cette nébuleuse et fascinante énigme, à la rencontre de personnages troubles et dangereux et au milieu de décors particulièrement angoissants.
Le format du livre (moins de 300 pages) convient parfaitement à l'intrigue et permet au lecteur de rester toujours concentré sur le récit. Peu à peu, il découvre avec le narrateur tous les secrets de la Chambre d'Ambre et des meurtres sanglants qui planent autour de ce trésor.
Mais c'est sans aucun doute les deux dernières pages qui laissent un goût tout particulier à cette lecture. Ces quelques paragraphes éclairent d'un regard nouveau l'ensemble de l'histoire, et donnent à eux seuls l'envie de relire à nouveau ce très bon roman.
Spécialiste en analyse des rêves et détective privé, Ludovic Lardennois est appelé en Pologne, à Gdansk, pour étudier le cas d'une jeune fille qui souffre de troubles psychiatriques et rêve chaque nuit d'une femme mutilée. Existe-t-il un rapport entre ces rêves obsédants et La Chambre d'Ambre, un trésor bien connu en Pologne, caché par les nazis à la fin de la seconde guerre mondiale et sur lequel le père de la jeune fille avait travaillé au moment de sa mort, dix ans plus tôt ?
Quatrième roman de Jérôme Bucy, La Chambre d'Ambre captive dès les premières pages par son ambiance mystérieuse et sombre. L'auteur nous emporte immédiatement dans cette nébuleuse et fascinante énigme, à la rencontre de personnages troubles et dangereux et au milieu de décors particulièrement angoissants.
Le format du livre (moins de 300 pages) convient parfaitement à l'intrigue et permet au lecteur de rester toujours concentré sur le récit. Peu à peu, il découvre avec le narrateur tous les secrets de la Chambre d'Ambre et des meurtres sanglants qui planent autour de ce trésor.
Mais c'est sans aucun doute les deux dernières pages qui laissent un goût tout particulier à cette lecture. Ces quelques paragraphes éclairent d'un regard nouveau l'ensemble de l'histoire, et donnent à eux seuls l'envie de relire à nouveau ce très bon roman.