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5/10 Dommage… Un Japon apocalyptique, l'an zéro étant celui où l'archipel a été la cible de la bombe A. Dans un Tokyo dévasté, l'inspecteur Minami essaie tant bien que mal de faire son boulot. En proie à des crises de folie, il doit enquêter sur le corps de femme, retrouvé dans un dépôt de vêtements de l'armée. Un an plus tard, le même type de meurtre est perpétré...
Totalement le genre de polar qui me convient, en tout cas niveau ambiance, décor. Mais ces crises de Minami détruisent entièrement le rythme de lecture. Un récit très saccadé, devenant de plus en plus éreintant au fil des pages. Pas agréable, donc.05/04/2020 à 07:15 Lucas 2.0 (456 votes, 7.7/10 de moyenne) 1
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7/10 Pas le meilleur Peace mais quand même un style unique !
01/03/2016 à 18:31 malusapi (35 votes, 7.7/10 de moyenne) 1
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9/10 A nouveau, Peace décrit à sa façon la noirceur d'hommes pris dans la tourmente de l'Histoire.
C'est en tout cas souvent réussi, efficace.
Lire cet auteur est toujours une expérience éprouvante, mais l'addiction est là.19/12/2013 à 21:37 mkl (182 votes, 7/10 de moyenne)
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9/10 David Peace s'affirme comme l'un des écrivains contemporains avec qui il faut compter.
22/11/2010 à 18:20 Raoul (18 votes, 7.7/10 de moyenne)
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9/10 Mon premier Peace lu avec allégresse ( c'est un comble pour un roman noir). L'auteur évoque avec sensibilité et tact l'atmoshpère de la période suivant la défaite japonaise sans tomber dans les travers de certains romanciers qui transforment leur histoire en mi-documentaire pour mieux nous faire comprendre ces pays lointains (je pense notamment à un roman de P. May ayant pour cadre Pékin). Le style est envoûtant, le rythme parfois lancinant avec ses répétitions et ses onomatopées s'emboîtent bien avec la pesanteur du quotidien. Pour apprécier le roman, il ne faut pas attendre une intrigue bien ficelée. Les interrogations, les doutes,les incompréhensions et la méfiance du cerveau pulvérisé et parfois groggy de l'inspecteur Minami entretiennent un léger suspense jusqu'au bout dans un monde ou duplicité, traîtrise et cruauté font la danse.
Je vais m'attaquer à l'euvre de Peace chronologiquement en commençant par "1974".08/03/2008 à 06:34 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1