D’un côté, il y avait ces bijouteries cambriolées en série qui faisaient la une des journaux. La police recherchait activement Léo Gasoletti, alias « le Félin », qui avait opéré selon la même méthode vingt ans plus tôt. Evidemment, comme je l’avais connu mieux que personne, l’inspecteur Levalet ne me lâchait pas d’une semelle.
Et de l’autre côté, il y avait Denis, mon ami journaliste, qui me tannait pour que je l’aide à écrire la biographie de Gasoletti. Je savais que me replonger dans les souvenirs de ce passé tumultueux serait une mauvaise idée. Et pourtant, j’ai dit oui.
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Soumis le 27/09/2017 par Emil