Une autruche, cela évoque la chaleur, le sable. Alors, une autruche dans un Paris froid, voire neigeux...
Peut-on comparer une autruche à un fier étalon, pensionnaire d'un manège du bois de Boulogne? A priori, non...
Venue de son Québec natal, Sylvie Duchamp, elle, ne faisait pas l'autruche dans une allée cavalière. Elle y avait terminé, définitivement, son séjour parisien, dans un taillis...
Pourquoi au bois?
Jérôme Thiébaut, commissaire de son état, devra donc fouiller, non pas le taillis, mais le sable pour en faire jaillir les visages de CEUX QUI FONT L'AUTRUCHE.
Il ne semble pas encore y avoir de sujet sur cet ouvrage sur le forum... Cliquez ici pour en créer un !
Soumis le 10/09/2017 par El Marco