André Pastrella est à Joseph Incardona ce qu'Arturo Bandini est à John Fante : un alter ego par lequel l'auteur - avec générosité et un pessimisme ironique - relate les vicissitudes d'un antihéros qui lui ressemble. On y passe à la moulinette le monde du travail, l'amour, le sexe, la solitude des night-clubs, et cette nécessité qui s'impose comme une bouteille jetée à la mer : devenir écrivain.
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Soumis le 03/02/2016 par El Marco