M'as-tu vu en cadavre ?

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  • 9/10 Fin des années 50. Paris et le 10earrondissement
    Burma n’est pas le seul narrateur de l’enquête. Hélène apporte son témoignage.
    Hélène Chatelain attend Auguste Colin, (dit Nicolas), un vieil acteur de troisième ordre sur le retour, dans la soixantaine, qui doit venir pour la taper de quelques billets. Puis, se rend en compagnie de Nestor Burma dans un café lui a donné rendez-vous. Lorsqu’ils arrivent, Colin.
    Burma et Hélène inquiets vont jusqu’à l’immeuble où crèche Colin – rue non loin du Canal Saint-Martin et pas très loin de l’Hôtel du Nord. Ils s’introduisent dans l’appartement de l’acteur, le fouillent.
    Augustin Colin semble avoir disparu.
    Une semaine plus tard, Madeleine Souldre, directrice de l’agence Inter Star et impresario du chanteur vedette, le bellâtre Gill Andrea, engage Burma pour être son garde du corps.
    Hélène, s’immisce dans le cercle des admiratrices et autres groupies. Un Sélect Club dont la façade respectable cache un réseau de traites des blanches.
    De son côté Nestor Burma enquête, prend des coups, tandis que les cadavres s’accumulent.
    Une belle réussite.
    Le bar qui fait le coin de la rue des deux gares où le directeur de Fiat Lux s’enivre en compagnie de Madeleine Souldre, existe toujours. Aujourd’hui,

    03/01/2021 à 15:01 Max (772 votes, 8.1/10 de moyenne)

  • 8/10 Une fois de plus c'est une réussite pour le dernier album de la série dessiné par Tardi. Un très bon scénario qui mêle personnages pittoresques et crapules, tout ce joli monde mis en valeur par le dessin en noir et blanc de Tardi.

    05/02/2018 à 13:47 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 5

  • 7/10 Bonne histoire et bons dessins comme toujours. Burma ne se fatigue pas trop pour une fois et préfère envoyer sa secrétaire en première ligne. Le dénouement est un peu trop bref, quelques dessins supplémentaires n'auraient pas été superflus.

    11/07/2017 à 03:09 Grolandrouge (1594 votes, 6.6/10 de moyenne) 4

  • 7/10 Je suis toujours autant fan de la griffe visuelle très atypique de Tardi, qui se marie ici très bien à mon goût à l’univers de Léo Malet. Une histoire prenante aux diverses ramifications, même si j’ai trouvé que les explications venaient un peu trop en cascades dans les ultimes planches.

    17/06/2015 à 16:54 El Marco (3455 votes, 7.2/10 de moyenne) 4