Une gueule de bois en plomb

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  • 7/10 Pour une fois, Tardi s'inspire librement de Léo Malet sans reprendre un de ses scénarios, mais avec son héros, Nestor Burma. On retrouve le privé dans une des ces banlieues tristes et inhospitalières que Tardi se plait à dessiner. L'histoire débute au zinc d'un rade aussi accueillant que l'environnement. Un patron grimé en clown, une serveuse en tablier blanc, des clients amarrés à leurs verres, un décor classique pour une aventure qui va ramener Nestor dans les remous peu glorieux de la libération et de la résistance. Les dessins en couleurs servent bien l'ambiance pluvieuse. Un court album qui est tout à fait dans la lignée des auteurs.

    15/04/2024 à 11:46 Surcouf (400 votes, 7.3/10 de moyenne) 2

  • 8/10 Nous retrouvons Burma dans une petite forme et en plus petit format que d'habitude. 1 à cinq dessins par page, mais cette fois ci, Tardi nous à rajouté la couleur, dans cet épisode un peu plus fantaisiste que d'habitude. Burma arrivera-t-il à se tirer des ennuis dans lesquels il s'est fourré bien malgré lui? Une bonne histoire sous fond de vengeance et de magot où ça dézingue à tout-va.

    13/06/2017 à 07:27 Grolandrouge (1580 votes, 6.6/10 de moyenne) 4

  • 8/10 L'ambiance polar est toujours là grâce aux dessins de Tardi, cette histoire se déroule dans la banlieue Est de Paris, très rustique et glauque. Cet album un des rares de la série, n'est pas adapté d'un roman de Léo Malet, mais on se régale quand même.

    14/03/2016 à 14:10 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 5