C'est toujours les autres qui meurent

A l’image de ses trois chats, Radek, Kamenev et Zinoviev, Victor Blainville ne fait jamais ce qu’on attend de lui. Le héros parisien des romans de Jean- François Vilar n’est pas un enquêteur comme les autres.
D’ailleurs, il déteste les enquêtes, les flics et les mauvais scénarios. Aussi, quand on lui donne rendez-vous passage du Caire et qu’il y découvre le corps d’une femme dans une posture très étudiée, il ne se contente pas de la prendre longuement en photo. Il faut dire que la mise en scène macabre qu’il a sous les yeux est la reconstitution fidèle de la dernière œuvre de Marcel Duchamp, Etant donnés… De quoi se poser quelques questions dont celle-ci : Pourquoi cherche-t-on à lui faire porter le chapeau de ce crime d’esthète ?
Alors, quand une jolie libraire lui donne un second rendez-vous, passage Vivienne, Victor s’y rend toutes griffes dehors. Bien sûr, elle s’appelle Rose. C’est la vie, d’accord. Mais quand même !

Roman à suspense

livre de la série Victor Blainville

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Soumis le 10/02/2015 par PatFerrer

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