Dans le métro de Tokyo, un homme s’effondre brutalement, frappé par une crise cardiaque. Du moins, pour la version officielle, car c’est sans compter sur John Rain, un tueur à gages dont la spécialité est de faire passer ses crimes en morts naturelles. Il pensait ce contrat réglé, mais sa rencontre avec Midori, musicienne de jazz, et surtout fille du défunt, va venir bouleverser son existence. Le passé de Rain, qu’il croyait derrière lui, va ressurgir brutalement et l’entraîner dans une course poursuite, pour sa survie et celle de la jeune femme.
La chute de John R. est le premier polar de Barry Eisler. Il y met en scène le personnage John Rain, devenu par la suite héros récurrent de l’auteur. Loin d’être un homme sans défaut, Rain traîne derrière lui un passé sombre et violent, que le lecteur découvre petit à petit au fil des pages. Amateur d’arts martiaux et ancien militaire durant la guerre du Vietnam, le tueur à gages a plus d’une corde à son arc pour se démêler des situations périlleuses dans lesquelles il se retrouve. Les autres personnages, bien que secondaires, ont tous leur importance. Ils sont décrits avec soin et précision, et ont un intérêt réel pour l’intrigue. L’action est également au rendez-vous, avec des scènes de combats très visuelles. L’auteur s’emploie aussi à être le plus crédible possible, plantant un décor réaliste de la capitale japonaise, donnant ainsi au lecteur l’impression d’être à Tokyo aux côtés de Rain. Les lieux cités, le vocabulaire utilisé, la description de la situation politique au pays du Soleil levant, tout cela tend à rendre l’ensemble vraisemblable.
Enchaînant rebondissements et révélations, Barry Eisler ne laisse pas de répit au lecteur. Ayant travaillé trois ans pour la CIA et vécu quelques temps au Japon, il maîtrise clairement son sujet, apportant beaucoup d’intérêt à son livre.
En bref, la chute de John R. est un très bon thriller mêlant action et suspense, le tout mené par un personnage charismatique et attachant.
Dans le métro de Tokyo, un homme s’effondre brutalement, frappé par une crise cardiaque. Du moins, pour la version officielle, car c’est sans compter sur John Rain, un tueur à gages dont la spécialité est de faire passer ses crimes en morts naturelles. Il pensait ce contrat réglé, mais sa rencontre avec Midori, musicienne de jazz, et surtout fille du défunt, va venir bouleverser son existence. Le passé de Rain, qu’il croyait derrière lui, va ressurgir brutalement et l’entraîner dans une course poursuite, pour sa survie et celle de la jeune femme.
La chute de John R. est le premier polar de Barry Eisler. Il y met en scène le personnage John Rain, devenu par la suite héros récurrent de l’auteur. Loin d’être un homme sans défaut, Rain traîne derrière lui un passé sombre et violent, que le lecteur découvre petit à petit au fil des pages. Amateur d’arts martiaux et ancien militaire durant la guerre du Vietnam, le tueur à gages a plus d’une corde à son arc pour se démêler des situations périlleuses dans lesquelles il se retrouve. Les autres personnages, bien que secondaires, ont tous leur importance. Ils sont décrits avec soin et précision, et ont un intérêt réel pour l’intrigue. L’action est également au rendez-vous, avec des scènes de combats très visuelles. L’auteur s’emploie aussi à être le plus crédible possible, plantant un décor réaliste de la capitale japonaise, donnant ainsi au lecteur l’impression d’être à Tokyo aux côtés de Rain. Les lieux cités, le vocabulaire utilisé, la description de la situation politique au pays du Soleil levant, tout cela tend à rendre l’ensemble vraisemblable.
Enchaînant rebondissements et révélations, Barry Eisler ne laisse pas de répit au lecteur. Ayant travaillé trois ans pour la CIA et vécu quelques temps au Japon, il maîtrise clairement son sujet, apportant beaucoup d’intérêt à son livre.
En bref, la chute de John R. est un très bon thriller mêlant action et suspense, le tout mené par un personnage charismatique et attachant.