8 votes
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8/10 Une construction lisible malgré le contexte et une avancée dans l'histoire crescendo qui laisse le lecteur xérostomique.
09/11/2014 à 21:59 chouchou (603 votes, 7.6/10 de moyenne) 2
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8/10 Ce roman m'a accaparé du debut a la fin, trés belles galeries de personnages trés attachants il y en a pour tous les gouts. Tout ceci pendant les années Bush, et au moment de la plus belle réussite de Mieur Chirac son refus d'envoyer nos troupes en Irak. Tout ceci en fait un trés bon polar.
06/07/2011 à 18:29 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 2
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5/10 Désolé de casser l'ambiance, mais je n'ai pas accroché du tout. Je me suis même ennuyé. L'histoire est peut-être intéressante mais elle tient en 30 pages. Le reste n'est que analyses sociales de notre monde et portraits approfondis de chaqu'un des personnages.
Pour moi "Les ombres mortes" n'est pas un polar mais un roman social très noir où il ne se passe pas grand chose.
Certes C. Roux a un réel talent d'écriture c'est pour ça que je vais quand même lire "Braquages" en espérant un peu plus d'action.05/09/2010 à 10:42 joss (92 votes, 7/10 de moyenne)
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7/10 J'ai eu du mal à rentrer dans le roman au début, mais une fois lancé, on veut absolument savoir le fin mot de l'histoire. En plus, c'est très bien écrit, les mots coulent tous seuls.
13/04/2009 à 20:58 Sybil (642 votes, 7.5/10 de moyenne)
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9/10 Geoffroy a perdu son passé et il veut le retrouver mais le puzzle qu’il reconstituera ressemblera plus à des ombres funestes qu’à un jardin enchanteur. Ces personnages butent tous dans les pierres des difficultés de la vie. Bras cassés, loosers ou blessés, ils se battent et tentent de rester à la surface de l’eau. L’auteur nous montre, avec finesse, ces êtres surnageant sans voyeurisme ou apitoiement. Il ne porte pas au jugement, il donne à voir au lecteur. C. Roux sait les rendre attachants et j’avais parfois envie d’aider Geoffroy à sortir de sa galère.
L’histoire sort du train-train régulier du quotidien pour confiner avec la folie, elle m’a vite happé pour me captiver du début à la fin.
L’écriture dynamique va à l’essentiel, sait peindre les situations avec efficacité sans digressions et lourdeurs.
La politique et une révolte sociale semblent former le lit du roman. Un cri contre la politique d’immigration, les pratiques policières, les politicards et l’Amérique de Bush en forçant parfois le trait, « Lui, comme des millions de gens, avaient eu peur que le cow-boy alcoolique, même repenti, ne déclenche une troisième guerre mondiale – ou une quatrième, si on considérait la précédente guerre du Golfe comme une guerre mondiale, ce qui était moins que certain, vu qu’aucune capitale blanche n’avait été touchée. »08/02/2009 à 08:22 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 1
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8/10 Très bon polar social sur fond de lutte anti-terroriste à tout va. C'est noir, les personnages sont perdus pour la société, dans laquelle ils ne comprennent rien. Ils sont largués. Manipulation, vengeance, amour, tout y passe, mais c'est peint en noir.
29/10/2007 à 14:19 terramater (305 votes, 6.6/10 de moyenne) 2
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9/10 toujours le style social avec une pointe de politique pour cette histoire de mémoire oubliée
qui monte en intensité jusqu'à la fin
avec le plaisir de retrouver un personnage de braquages25/02/2007 à 18:44 stfoch (74 votes, 8.1/10 de moyenne) 1
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9/10 L'histoire d'un homme qui a perdu la mémoire après un accident de la route. Après une enquête de la police, il se recrée une vie à partir des faux papiers qui ont été retrouvé sur lui. Dorénavant il s'appelera Geoffroy Martin.Il sera Geoffroy Martin pendant huit ans. Puis il redevient un homme sans identité, sans famille, sans amis, sans avenir et sans passé.
Il deviendra une ombre morte qui tente de se faire comprendre.
Christian Roux est vraiment le successeur de cette vague veille de 20 ans que l'on appelle le néo-polar: des polars teintés de réflexion sociale et politique. Un style impeccable et nette. Sans sur-plus inutile25/02/2007 à 16:50 fabien (230 votes, 7.9/10 de moyenne) 1