Ne reste que la violence

(The Sudden Arrival of Violence)

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  • 8/10 Pas facile le métier de tueur à gages, pas de sécu, pas d’assurance-chômage, pas de syndicat pour défendre l’arnaque du pouvoir d’achat. Et quand on veut quitter le boulo, on ne peut envoyer sa « dém » à son patron. On en ressort davantage entre 4 planches et encore… Calum a mis au point un plan pour sa fuite mais rien ne se passera comme prévu.
    L’auteur tire le rideau sur une trilogie, qui décrit le métier de tueur; histoire de susciter ou décourager des vocations; en ces périodes de chômage éternel, aucun débouché ne peut être ignoré.
    Un dernier opus tout aussi accrochant avec un style unique.

    09/10/2016 à 07:25 xavier (853 votes, 7.8/10 de moyenne) 3

  • 8/10 Une très bonne conclusion à la trilogie de Glasgow. Toujours la même recette : des phrases courtes et ciselées qui permettent, malgré le peu d'actions, de créer du rythme. De plus, Mackay, de par la "profession" de ses protagonistes aurait pu tomber dans la facilité d'un final avec surenchère d'actions et de rebondissements ; il a parfaitement su éviter cela et servir un épilogue dans la droite ligne de l'ensemble de sa trilogie.

    25/12/2015 à 15:06 ericdesh (933 votes, 7.4/10 de moyenne) 2