Sergio et Victor se ressemblent comme deux gouttes d’eau, à ceci près que le carnet d’identité de Victor porte la lettre R à chaque page.
Car Victor est un clone de remplacement, une banque d’organes pour son frère Sergio, qui le méprise et le maltraite.
Mais un jour, Victor rencontre Dolores et celui qui était né pour être sacrifié prend conscience, grâce à l’amour, de son identité et de sa soif de liberté.
Gustavo Nielsen oppose au dévoiement de la science, la puissance subversive du désir.
Dans la lignée d’Aldous Huxley et de son Meilleur des mondes, il convoque et réinvente les mythes, de Caïn et Abel à Frankenstein, pour interroger une société déshumanisée par la consommation à outrance.
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Soumis le 04/05/2016 par Norbert