Dernier train pour Ouessant

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  • 7/10 Après l'hilarant Black Poher, aux accents thompsoniens, et Docks, qui se déroulait déjà à Brest, on retrouve ici cette ville que l'auteur connaît si bien. Ce n'est donc pas pour rien que les personnages et les dialogues paraissent plus vrais que nature. Ce livre a beau répondre à un certain cahier des charges, on y retrouve indéniablement la patte de l'auteur : son humour, sa gouaille, un peu de critique sociale et beaucoup d'humanisme. Un bon opus des enquêtes de Léo Tanguy, le collègue breton du Poulpe.

    13/01/2015 à 09:24 Hoel (1164 votes, 7.6/10 de moyenne) 1