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7/10 Maltide Crescennzaghi, demeurant au 6, corso Italia, jeune enseignante de vingt-deux ans à l’école du soir de l’école du soir Andrea e Maria Fustagni, près de la place Loreto, à Porta Venezia, meurt à l’hôpital.
Cette jeune enseignante a été atrocement battue, déshabillée et violée.
Dans la salle A de l’école des obscénités ont été écrites au tableau ; la jupe accrochée au portemanteau, le soutien-gorge suspendu à la poignée d’une fenêtre, un bas fixé avec des punaises entre deux tables.
Onze élèves de de 13 à 20 ans, particulièrement difficiles, sont les premiers suspects. Dont Ettore, 17 ans, mère prostituée, beau-père mort en prison, élevé par sa tante, deux ans de maison de correction, et, Carolino Marassi, 13 ans, orphelin, voleur à la petite semaine.
Duca Lamberti, ancien médecin devenu flic, un bureau minable, surveillé par sa hiérarchie est chargé de l’enquête, secondé par Mascaranti et Livia.
Roman noir, sombre et violent. A lire en acceptant le conteste de l’époque.
Le style de Giorgio Scerbaneco n’est pas suranné.19/09/2024 à 13:50 Max (764 votes, 8.1/10 de moyenne) 2
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5/10 Ce n'est l'histoire à proprement parlé que je n'ai pas apprécié, plus certainement le style de l'auteur et son côté suranné post seconde WW. Les idées semblent préconçues et arriérées maintenant. Un autre style, une autre époque.
12/08/2015 à 08:35 toutatys (93 votes, 7/10 de moyenne)