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5/10 Cette nouvelle parue dans le cadre de la série « Les petits polars » initiée par Le Monde et Sncf vaut plus par son exercice de style que pour l’histoire en elle-même. Jean-Bernard Pouy raconte l’histoire d’un médiateur qui négocie avec un patron qui, après avoir tué un syndicaliste, se renferme dans son bureau. Pour se faire, l’auteur s’est fixé une contrainte d’écriture : « chaque phrase débutant après un point (.) (…) ( ?) ( !) commence par une lettre de l’alphabet, dans l’ordre (a, b, c, d, etc.).
Cet exercice, s’il peut être salué, ne fait qu’alourdir l’histoire, qui est elle-même n’est pas plus originale que cela. Un « petit polar » qui s’avère du coup bien dispensable.
27/05/2020 à 09:50 JohnSteed (624 votes, 7.7/10 de moyenne) 1
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7/10 Une contrainte littéraire dont on s'amuse à "vérifier" le résultat et une histoire certes pas inoubliable mais plutôt drôle, qui mélange conflit social et absurde (la fameuse scène de la capture). L'anecdote sur les enfants bagnards est intéressante.
Bref, un petit texte réussi et qui remplit à merveille sa raison d'être (je l'ai d'ailleurs lu dans un train).18/10/2018 à 16:57 LeJugeW (1810 votes, 7.3/10 de moyenne) 3
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6/10 Du J-B Pouy dans toute sa splendeur, une petite nouvelle humoristique: sans plus.
29/08/2016 à 09:19 janjak (466 votes, 7.9/10 de moyenne) 1
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5/10 Une nouvelle sympathique, fondée sur l’humour et une contrainte littéraire (chaque phrase commençant par une lettre, par ordre alphabétique). Rien d’extraordinaire à mon goût dans l’histoire, la narration ou les personnages, mais ça permet de passer un bon moment. En revanche, pas certain que cette histoire me marque durablement.
25/05/2015 à 18:48 El Marco (3432 votes, 7.2/10 de moyenne) 2