Frank Tallow est un flic new-yorkais fatigué de tout. Répondant à un appel radio, il se rend avec son coéquipier Jim Rosato dans un immeuble de Pearl Street où un type armé et visiblement dérangé importune ses voisins. Alors qu'ils arrivent sur place, tout dégénère. Le type se met à tirer à tout va, Rosato s'en prend une en pleine tête et tombe raide mort. Tallow riposte et s'acharne sur le forcené, défonçant un mur au passage. Ce trou involontaire permet aux techniciens de la police de faire une découverte aussi inattendue qu'exceptionnelle : une salle dont les murs sont entièrement recouverts d'armes. Les résultats des premières analyses tombent et l'incroyable se poursuit : chacune des armes semble reliée à une affaire non-élucidée.
« En réécoutant l'enregistrement du 911, on aurait l'impression que Mme Stegman était plus affolée par la nudité intégrale du zèbre qui squattait son palier que par le gros fusil qu'il brandissait. »
La première phrase de ce roman annonce la couleur : ce sera vitaminé, noir, et un brin déjanté. Tallow doit faire face à la mort de son coéquipier et ami de longue date mais malgré ça, ses supérieurs ne lui laissent aucun répit. Sous-effectif oblige, il doit reprendre le travail au plus vite et se débrouiller seul. Après une avancée significative, il se fait finalement aider par deux agents de la police technique et scientifique assez originaux dans leur genre : Bat, le geek limite autiste, et Scarly, la jolie lesbienne qui jure comme un charretier.
L'enquête avance peu à peu et la tension est palpable puisqu'on suit en parallèle « le chasseur », cet homme mystérieux qui a passé vingt ans de sa vie à collectionner ces armes et à s'en servir. Il est d'ailleurs prêt à tout pour les récupérer.
Avec Gun Machine, Warren Ellis signe un polar à l'intrigue originale et à l'écriture très énergique qui tient globalement ses promesses (certains lecteurs pourront éventuellement trouver quelques révélations un peu « grosses »).
Frank Tallow est un flic new-yorkais fatigué de tout. Répondant à un appel radio, il se rend avec son coéquipier Jim Rosato dans un immeuble de Pearl Street où un type armé et visiblement dérangé importune ses voisins. Alors qu'ils arrivent sur place, tout dégénère. Le type se met à tirer à tout va, Rosato s'en prend une en pleine tête et tombe raide mort. Tallow riposte et s'acharne sur le forcené, défonçant un mur au passage. Ce trou involontaire permet aux techniciens de la police de faire une découverte aussi inattendue qu'exceptionnelle : une salle dont les murs sont entièrement recouverts d'armes. Les résultats des premières analyses tombent et l'incroyable se poursuit : chacune des armes semble reliée à une affaire non-élucidée.
« En réécoutant l'enregistrement du 911, on aurait l'impression que Mme Stegman était plus affolée par la nudité intégrale du zèbre qui squattait son palier que par le gros fusil qu'il brandissait. »
La première phrase de ce roman annonce la couleur : ce sera vitaminé, noir, et un brin déjanté. Tallow doit faire face à la mort de son coéquipier et ami de longue date mais malgré ça, ses supérieurs ne lui laissent aucun répit. Sous-effectif oblige, il doit reprendre le travail au plus vite et se débrouiller seul. Après une avancée significative, il se fait finalement aider par deux agents de la police technique et scientifique assez originaux dans leur genre : Bat, le geek limite autiste, et Scarly, la jolie lesbienne qui jure comme un charretier.
L'enquête avance peu à peu et la tension est palpable puisqu'on suit en parallèle « le chasseur », cet homme mystérieux qui a passé vingt ans de sa vie à collectionner ces armes et à s'en servir. Il est d'ailleurs prêt à tout pour les récupérer.
Avec Gun Machine, Warren Ellis signe un polar à l'intrigue originale et à l'écriture très énergique qui tient globalement ses promesses (certains lecteurs pourront éventuellement trouver quelques révélations un peu « grosses »).