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9/10 Karine Giebel nous plonge dans un univers carcéral d’une rare violence.
Un roman noir coup de poing au goût de sang qui vous percute des les premières pages.
Le lecteur plonge dans un malaise constant où on se prend à détester chaque personnage pour ses actes impardonnables et en même temps à espérer pour lui une rédemption.
Il se dégage de ce roman une force inouïe et une description du milieu pénitencier qui vous glace l’échine.
C’est un véritable coup de force que réalise ici Karine Giebel avec son deuxième roman.
Elle change totalement de style par rapport à Terminus Elicius avec une grande réussite.
Vivement qu’elle trouve une maison d’édition à la dimension de son talent
car le seul bémol est pour La Vie du Rail qui sort ce roman de 550 pages en police 811/02/2007 à 12:21 stfoch (74 votes, 8.1/10 de moyenne) 4