Un homme vient demander l’aide de Guillaume Delange. Il faudrait qu’il enquête sur la disparition de son grand-père, il y a de cela soixante-dix ans. Mais à peine Guillaume a-t-il accepté l’enquête que le client est kidnappé. La clef de l’énigme se trouve à Lyon, où un complot se trame.
Vingtième ouvrage de la série consacrée à Guillaume Delange, cet Opération Renard noir a été confié à Valéry Le Bonnec. En quatre-vingt-dix pages, l’auteur permet de passer un bien bon moment, avec cette histoire intéressante et adroitement construite. Accompagné de son chien Whysk, Guillaume Delange synthétise tous les éléments qui peuvent plaire aux jeunes à qui s’adresse ce roman : rusé et tenace, il saura rallier la sympathie des lecteurs. Autre point original de la série : le détective est aidé par une calculatrice baptisée « le pont des anges », qui lui permet de faire appel à une entité capable de pénétrer l’esprit d’un individu ou d’un animal. Même si l’idée peut sembler saugrenue, elle est habilement exploitée dans l’ouvrage. Il faut également porter au crédit de Valéry Le Bonnec une réelle intelligence des mots et du scénario, ainsi que le refus de clichés pourtant si facilement envisageables.
Une écriture prenante pour une histoire qui l’est également: autant d’atouts pour ce livre ainsi qu’une série qui méritent amplement d’être découverts.
Un homme vient demander l’aide de Guillaume Delange. Il faudrait qu’il enquête sur la disparition de son grand-père, il y a de cela soixante-dix ans. Mais à peine Guillaume a-t-il accepté l’enquête que le client est kidnappé. La clef de l’énigme se trouve à Lyon, où un complot se trame.
Vingtième ouvrage de la série consacrée à Guillaume Delange, cet Opération Renard noir a été confié à Valéry Le Bonnec. En quatre-vingt-dix pages, l’auteur permet de passer un bien bon moment, avec cette histoire intéressante et adroitement construite. Accompagné de son chien Whysk, Guillaume Delange synthétise tous les éléments qui peuvent plaire aux jeunes à qui s’adresse ce roman : rusé et tenace, il saura rallier la sympathie des lecteurs. Autre point original de la série : le détective est aidé par une calculatrice baptisée « le pont des anges », qui lui permet de faire appel à une entité capable de pénétrer l’esprit d’un individu ou d’un animal. Même si l’idée peut sembler saugrenue, elle est habilement exploitée dans l’ouvrage. Il faut également porter au crédit de Valéry Le Bonnec une réelle intelligence des mots et du scénario, ainsi que le refus de clichés pourtant si facilement envisageables.
Une écriture prenante pour une histoire qui l’est également: autant d’atouts pour ce livre ainsi qu’une série qui méritent amplement d’être découverts.