Transylvania

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  • 6/10 Retour un peu mitigé sur ce roman de Nicolas Beuglet. Ses derniers romans amènent souvent à des questionnements, des réflexions et des prises de position sur des sujets sociétaux intéressants, mais je trouve les trames moins convaincantes, plus abracadabrantesques, et cela diminue mon plaisir de lecture. La psychologie des personnages semble passer en second plan et c’est regrettable, le message, le fond, devrait pour obtenir l’effet escompté s’ancrer davantage sur une intrigue crédible. L’auteur nous refait après « Le joueur de flûte de Hamelin » le « coup » des contes de fées, il vaut mieux à ce propos lire l’excellente BD intitulée « Et à la fin, ils meurent – La sale vérité des contes de fées ». Le roman de Nicolas Beuglet m’a fait penser un peu au dernier Dan Brown, avec ce côté un peu lanceur d’alerte, souvent bien référencé, mais qui de par la forme dilue la portée du propos. Dommage car j’apprécie bien les romans de l’auteur avec une plume plutôt dynamique, des chapitres courts et des rebondissements souvent nombreux. Qui sait, peut-être aurais je envie de retrouver Mina, dans un prochain roman ?

    24/09/2025 à 16:19 barde63 (148 votes, 7.6/10 de moyenne)