La Biroute de l’Oncle Charles

L’éducation sexuelle du jeune héros de l’histoire s’apparente à un dessalage hénaurme !… hors norme !

Ma grand-mère fumait des nińas et aimait faire des allusions coquines. Il n’était pas de journée, à mon souvenir, sans qu’elle n’évoque la biroute de l’oncle Charles.
L’Oncle Charles, je l’ai connu jusqu’à mes six ans. Après, il est mort…
Il était charcutier et diabétique. Je crois. Non, je suis sûr. Mais surtout, dans la famille, il devait sa célébrité au fait qu’il avait reçu à l’unanimité du jury une médaille d’or au concours national « Gastronomie et Saveurs de nos Terroirs », à la foire de Rennes, dans les années 80. Il avait obtenu cette récompense en proposant sa fameuse biroute – une andouille d’un mètre de long, tournée à la main et fumée à la tourbe de nos marais.

Là on atteint le sublime de la déglingue ! Avec une grand-mère tapineuse et un cousin obsédé de la chose, le môme va de surprise en surprise. On adore quand Cazenave creuse cette veine d’un Éros complètement azimuté. On en redemande !

Non polar

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Soumis le 04/12/2024 par El Marco

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