Ete 2003, à Rome. La canicule pousse les touristes à se réfugier dans les catacombes pour échapper à la chaleur... jusqu'au jour où un groupe de visiteurs tombe nez à nez avec une tête fraichement coupée. La première d'une longue série, qui entraîne l'inspecteur principal Mariella De Luca sur la piste d'un couple de femmes vengeresses.
Dès les premières pages, Gilda Piersanti cherche à surprendre le lecteur, en lui offrant par exemple dans le second chapitre la clé de tout roman policier classique : l'identité de l'assassin. Malgré cela, l'auteur parvient à maintenir le suspense et l'attention du lecteur, en axant son récit bien ficelé autour du mobile réel du tueur : quelle histoire secrète se cache derrière cet ignoble rituel meurtrier ?
Le lecteur accompagne alors Mariella De Luca dans son enquête, et Gilda Piersanti profite de cette occasion pour nous décrire des personnages originaux et travaillés (malgré certains personnages parfois caricaturaux qui servent à insérer de petites scènes comiques). Et comme dans Rouge Abattoir, le passé et les origines des différents protagonistes liés à des aspects historiques de la culture italienne servira de noeud à l'intrigue imaginée par l'auteur.
Tout au long du roman, Gilda Piersanti change de style pour mieux nous déstabiliser. A l'horreur de la découverte des têtes décapitées succède des scènes plus légères, parfois drôles. Des variations de tons qui contribuent d'ailleurs à maintenir tout l'intérêt du récit.
Dernier point, pour souligner encore la fraicheur et l'originalité du roman : en haut de page, là où d'habitude est répêté le titre du roman, le lecteur sera amusé de découvrir un mot ou une expression extrait du texte qui s'y trouve, et qui résume presque systématiquement le contenu de la page. Intrigant !
Ete 2003, à Rome. La canicule pousse les touristes à se réfugier dans les catacombes pour échapper à la chaleur... jusqu'au jour où un groupe de visiteurs tombe nez à nez avec une tête fraichement coupée. La première d'une longue série, qui entraîne l'inspecteur principal Mariella De Luca sur la piste d'un couple de femmes vengeresses.
Dès les premières pages, Gilda Piersanti cherche à surprendre le lecteur, en lui offrant par exemple dans le second chapitre la clé de tout roman policier classique : l'identité de l'assassin. Malgré cela, l'auteur parvient à maintenir le suspense et l'attention du lecteur, en axant son récit bien ficelé autour du mobile réel du tueur : quelle histoire secrète se cache derrière cet ignoble rituel meurtrier ?
Le lecteur accompagne alors Mariella De Luca dans son enquête, et Gilda Piersanti profite de cette occasion pour nous décrire des personnages originaux et travaillés (malgré certains personnages parfois caricaturaux qui servent à insérer de petites scènes comiques). Et comme dans Rouge Abattoir, le passé et les origines des différents protagonistes liés à des aspects historiques de la culture italienne servira de noeud à l'intrigue imaginée par l'auteur.
Tout au long du roman, Gilda Piersanti change de style pour mieux nous déstabiliser. A l'horreur de la découverte des têtes décapitées succède des scènes plus légères, parfois drôles. Des variations de tons qui contribuent d'ailleurs à maintenir tout l'intérêt du récit.
Dernier point, pour souligner encore la fraicheur et l'originalité du roman : en haut de page, là où d'habitude est répêté le titre du roman, le lecteur sera amusé de découvrir un mot ou une expression extrait du texte qui s'y trouve, et qui résume presque systématiquement le contenu de la page. Intrigant !