Trauma(s)

3 votes

  • 8/10 J’avais beaucoup d’attentes concernant cette suite et je dois bien avouer avec regret que c’est une petite déception.
    Néanmoins, comme toujours avec Karine Giebel, tout entière à ma lecture, je lui dois retards, rendez-vous manqués, travaux procrastinés etc.
    On ne lâche pas cette lecture en cours. Ce livre est réussi, néanmoins mes attentes étaient à la hauteur du premier volume et je dois avouer que celui-ci comporte quand même pas mal de longueurs… des répétitions sont nécessaires et voulues par l’auteur car celles-ci produisent des effets tout à fait utiles au récit tel qu’elle veut nous l’amener. Et pourtant, je me dis qu’il y a des passages superflus voire inutiles.
    Ce second tome est pourtant différent du premier et ce roman restera néanmoins dans ma mémoire comme une belle ode à l’amitié, un récit de vie bouleversant avec des héros comme toujours à fleur de peau et si peu ordinaires.
    Grégory est l’incarnation même de la résilience, une belle valeur qui sera mise en lumière Jusqu’aux dernières lignes de ce « Trauma(s) ».

    24/01/2025 à 14:35 Alice (333 votes, 7.5/10 de moyenne) 6

  • 8/10 Ce tome 2 nous replonge rapidement dans le parcours de cet humanitaire.
    Plusieurs parties dans ce tome, avec un revirement important ! (Que j'ai senti un peu venir).
    Une première partie bouleversante et effroyable : énormément d'empathie pour les personnages.
    Une seconde partie intéressante malgré quelques longueurs et redondances.
    Une merveilleuse histoire d'amitié extrêmement touchante. Du bon Karine Giebel !

    20/11/2024 à 15:30 Luzlïa (208 votes, 7.8/10 de moyenne) 6

  • 9/10 C’est avec une légère déception que j’avais refermé le tome 1 de Et chaque fois, mourir un peu. Je n’avais pas reconnu le style de l’auteure qui, avec ce tome 1, nous faisait voyager avec Grégory, cet infirmier humaniste, dont la vie ne lui a rien épargné, au cœur des différents conflits du globe. Ce catalogue de guerres et d’horreurs humaines avait pour mérite de faire prendre conscience au lecteur que la paix est une notion étrangère à l’homme.

    J’avais toutefois refermé le livre en caressant l’espoir que le tome 2, Trauma(s) et donc la suite de Et chaque fois, mourir un peu allait me permettre de retrouver le plaisir pervers de l’auteure à maltraiter le lecteur, à le torturer psychologiquement, à lui faire traverser toutes les émotions, dont surtout l’effroi.

    Et Trauma(s) m’a procuré ce « plaisir » retrouvé. Ce tome 2 dépasse la qualité du précédent volume. « Huis-clos », torture psychologique… J’ai été enfermé dans cette effroyable histoire. Un emprisonnement physique et psychologique. J’ai été surpris par ce twist, à tel point que j’ai dû vérifier que l’exemplaire du livre n’avait pas subi un problème d’impression. J’ai d’autant plus aimé ce revirement de l’histoire. Et chaque fois, mourir un peu est malgré tout une histoire d’amitié indéfectible entre deux hommes dont la vie a été cruelle.

    13/11/2024 à 14:38 JohnSteed (653 votes, 7.7/10 de moyenne) 8