Troisième humanité

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  • 2/10 40 premières pages emballantes et paf, le roman s’enlise dans du grand n’importe quoi, à coup de théories fumeuses et/ou boiteuses, d’approximations très grossières tant historiques que scientifiques. Le lecteur que je suis ne sait alors plus sur quel pied danser : le livre est-il une immense farce ? Cela aurait pu… Mais l’auteur semble croire en ce qu’il écrit, au mépris du lecteur, agacé par tant d’inepties qui s’accumulent au fil des centaines et des centaines de pages (700 pages pour la version poche). Le seul intérêt fut, à la rigueur, quelques articles de l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu qui parsèment le récit.
    Que me reste t-il de cette lecture ? Une impression d’un immense gâchis parce que l’idée de base était bonne et d’une énorme déception. Pas sûr que je renouvelle un jour l’expérience Werber, marqué au fer rouge par ce mauvais roman.

    16/04/2016 à 15:02 LeJugeW (1776 votes, 7.3/10 de moyenne) 2