Une fois n'est pas coutume, Moussah, le pote de Fitz et Deborah, est en couple depuis quelques semaines. Avec un mannequin en plus, une ravissante métisse. Tout ça était trop beau. Alors qu'elle devait participer à un concours qui allait peut-être changer sa vie, la magnifique Cerise disparaît sans laisser de traces, et les pépins ne font que commencer pour le trio de noctambules invétérés. Puisqu'il semblerait qu'elle ne soit pas partie de son plein gré, qui pourrait bien avoir un intérêt à enlever la jeune femme ? L'une de ses concurrentes top model peut-être ?
On retrouve donc avec entrain le personnage de John-Fitzgerald, a.k.a. « Fitz », que d'aucuns ont déjà pu apprécier dans Les talons hauts rapprochent les filles du ciel. On ne change pas une équipe qui gagne, aussi Olivier Gay reprend dans Les mannequins ne sont pas des filles modèles les mêmes ingrédients que ceux utilisés pour son premier roman récompensé. Voici donc un nouvelle aventure rocambolesque du don Juan dealer de coke dans les soirées de la capitale. Ce coup-ci, Fitz et Deborah sont bien décidés à tout faire pour aider leur ami Moussah à retrouver sa dulcinée sans faire intervenir la police. Et ce par tous les moyens, comme l'infiltration d'une agence de mannequinat. Mais Fitz, maladroit comme pas deux, est loin d'être une taupe modèle, et notre trio n'est pas au bout de ses peines.
Comme dans le premier opus, le plaisir de lecture est permanent. L'action et le suspense sont au rendez-vous, avec quelques rebondissements bien sentis au programme. Les personnages sont toujours aussi délurés et sympathiques. Plus encore, l'humour est omniprésent, et le sourire quitte rarement les lèvres du lecteur. Olivier Gay ne s'interdit aucun jeu de mots et (s')amuse dès qu'il le peut : dans les dialogues, dans les situations « abracadabrantesques » dans lesquelles se fourrent les protagonistes, Fitz le premier, et même dans les descriptions.
C'est donc avec plaisir et bonne humeur que l'on renoue avec les aventures de Fitz. Ce second titre, aussi enlevé et enjoué que le précédent est un petit régal. Espérons qu'il en appelle d'autres.
Une fois n'est pas coutume, Moussah, le pote de Fitz et Deborah, est en couple depuis quelques semaines. Avec un mannequin en plus, une ravissante métisse. Tout ça était trop beau. Alors qu'elle devait participer à un concours qui allait peut-être changer sa vie, la magnifique Cerise disparaît sans laisser de traces, et les pépins ne font que commencer pour le trio de noctambules invétérés. Puisqu'il semblerait qu'elle ne soit pas partie de son plein gré, qui pourrait bien avoir un intérêt à enlever la jeune femme ? L'une de ses concurrentes top model peut-être ?
On retrouve donc avec entrain le personnage de John-Fitzgerald, a.k.a. « Fitz », que d'aucuns ont déjà pu apprécier dans Les talons hauts rapprochent les filles du ciel. On ne change pas une équipe qui gagne, aussi Olivier Gay reprend dans Les mannequins ne sont pas des filles modèles les mêmes ingrédients que ceux utilisés pour son premier roman récompensé. Voici donc un nouvelle aventure rocambolesque du don Juan dealer de coke dans les soirées de la capitale. Ce coup-ci, Fitz et Deborah sont bien décidés à tout faire pour aider leur ami Moussah à retrouver sa dulcinée sans faire intervenir la police. Et ce par tous les moyens, comme l'infiltration d'une agence de mannequinat. Mais Fitz, maladroit comme pas deux, est loin d'être une taupe modèle, et notre trio n'est pas au bout de ses peines.
Comme dans le premier opus, le plaisir de lecture est permanent. L'action et le suspense sont au rendez-vous, avec quelques rebondissements bien sentis au programme. Les personnages sont toujours aussi délurés et sympathiques. Plus encore, l'humour est omniprésent, et le sourire quitte rarement les lèvres du lecteur. Olivier Gay ne s'interdit aucun jeu de mots et (s')amuse dès qu'il le peut : dans les dialogues, dans les situations « abracadabrantesques » dans lesquelles se fourrent les protagonistes, Fitz le premier, et même dans les descriptions.
C'est donc avec plaisir et bonne humeur que l'on renoue avec les aventures de Fitz. Ce second titre, aussi enlevé et enjoué que le précédent est un petit régal. Espérons qu'il en appelle d'autres.