On ne meurt que deux fois

(The Guy Who Died Twice)

1 vote

  • 7/10 D. D. Warren, enquêtrice ou détective au sein u commissariat de Boston est omniprésente.
    Le septième mois. Une intrigue qui se déroule pendant le tournage de scènes d’un film policier, dans un cimetière/ D.D. Warren enceinte de sept est engagée comme conseillère technique. Elle remplace un flic à la retraite, Samuel Chaibongsa. L’inspectrice apprendre rapidement que le vieux flic a été trouvé mort chez lui et croise des « Doublures lumières » et des agents du FBI infiltrés, lancé à la chasse du blanchiment d’arengt.
    On meurt que deux foi, une affaire en « Chambre close »
    Un certain Adams LaToile, (atteint d’un syndrome délirant, décrit par Jules Cotard) se présente au commissaire de Boston en prétendant qu’il est mort. Quelques heures plus tard, on retrouve mort dans son lit. Poignardé.
    Des suspects. La femme du mort, le valet, la bonne, le cuisinier, ainsi que toubib – psychiatre, ami de la famille et proche de la veuve.
    Un petit air d’Agatha Christie, de Simenon (La fenêtre ouverte, notamment), de Cluedo.
    La meilleure des trois. a
    Le quatrième homme. Une affaire vieille de dix ans et jamais élucidée. Le meurtre d’une étudiante dans la bibliothèque universitaire. D.D. Warren a rouvert cette affaire et aidé par un duo de Profileurs. L’enquêtrice est plus en retrait.
    Pas vraiment de chute qui surprend. Le lecteur ne suit pas l’évolution. On lui livre les travail des inspecteurs et les conclusions qui mènent au dénouement, façon Hercule Poirot devant le ou les suspects. Assez frustrant.

    08/11/2024 à 20:47 Max (764 votes, 8.1/10 de moyenne) 2