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5/10 C’est avec un grand intérêt que je voulais lire ce livre et un plaisir anticipé que je souhaitais parcourir un polar britannique « salué par la presse et la critique (même en France) comme « un grand roman » digne du Dahlia noir ou de L.A. Confidential d'Ellroy mais dans le Londres des années 1930-40, finaliste du Prix du polar européen du Point ».
Après quelques jours d’abstinence littéraire, je me suis plongé dans ce livre comme le ferait tout à chacun plongeant dans une oasis après avoir marché des centaines de kilomètres dans le désert. Mais, attendant trop de ce Vine Street, c’est la déception qui prévaut. Si le résumé est alléchant, le style de l’auteur conforme à la description faite, cette histoire ne m’a pas transcendé. Que de longueurs, de multitudes d’histoires parallèles qui n’apportent rien à l’histoire principale. J’ai, malgré tout, persisté dans ma lecture et venu à la fin de ces 675 pages. L’ennui me guettait, la fin surgie de nulle part me confirmait que les ¾ du livre n’était que remplissage. Une immense déception.
10/06/2024 à 13:30 JohnSteed (624 votes, 7.7/10 de moyenne) 3