Bertrand Chaze est cadre dans une boîte qui se consacre à l’événementiel. Harcelé par son patron qui lui demande de l’aider à virer un collègue trop vieux à ses yeux, il finit par accepter. Rongé par les remords, ses angoisses ne vont pas s’arrêter là : un nouveau membre dynamique débarque, décidé à faire le ménage. Il y a aussi une épouse en proie aux doutes, une secrétaire qui aimerait bien mettre la main sur Bertrand, des policiers qui ne savent pas comment mener l’enquête sur le suicide de quatre employés de l’entreprise, etc. Inutile de se le cacher : il va y avoir des drames…
Troisième ouvrage policier de Patrick S. Vast après les très bons Béthune, 2 minutes d'arrêt et La veuve de Béthune, on retrouve dès les premières pages le style si typique de l’écrivain. Des personnages dépeints avec une grande économie de mots. Des descriptions concises. Une plume si empressée – au sens positif du terme – de mettre en exergue la mécanique de l’écrivain plutôt que de se perdre dans les détails qu’il arrive fréquemment que de nombreuses péripéties surviennent en quelques paragraphes. L’intrigue est toujours aussi bien imaginée, avec des interactions abondantes entre les protagonistes, et débouchant sur des catastrophes. Patrick S. Vast ne déçoit pas le lecteur, avec ce nouvel opus rythmé, au scénario original, et mettant en scène des individus qui vont, pour la plupart, être broyés au gré de ce récit, psychologiquement, socialement, ou physiologiquement.
Telle une machine infernale, l’écrivain met en place les rouages qui vont prendre les êtres entre leurs mâchoires. Même si certaines interférences entre ces personnages sont parfois peu crédibles, il faut reconnaître à Patrick S. Vast un talent rare : son style littéraire est inimitable et ses histoires rapidement reconnaissables. Peu d’écrivains peuvent se targuer d’une telle qualité, raison pour laquelle il est difficile de bouder son plaisir.
Bertrand Chaze est cadre dans une boîte qui se consacre à l’événementiel. Harcelé par son patron qui lui demande de l’aider à virer un collègue trop vieux à ses yeux, il finit par accepter. Rongé par les remords, ses angoisses ne vont pas s’arrêter là : un nouveau membre dynamique débarque, décidé à faire le ménage. Il y a aussi une épouse en proie aux doutes, une secrétaire qui aimerait bien mettre la main sur Bertrand, des policiers qui ne savent pas comment mener l’enquête sur le suicide de quatre employés de l’entreprise, etc. Inutile de se le cacher : il va y avoir des drames…
Troisième ouvrage policier de Patrick S. Vast après les très bons Béthune, 2 minutes d'arrêt et La veuve de Béthune, on retrouve dès les premières pages le style si typique de l’écrivain. Des personnages dépeints avec une grande économie de mots. Des descriptions concises. Une plume si empressée – au sens positif du terme – de mettre en exergue la mécanique de l’écrivain plutôt que de se perdre dans les détails qu’il arrive fréquemment que de nombreuses péripéties surviennent en quelques paragraphes. L’intrigue est toujours aussi bien imaginée, avec des interactions abondantes entre les protagonistes, et débouchant sur des catastrophes. Patrick S. Vast ne déçoit pas le lecteur, avec ce nouvel opus rythmé, au scénario original, et mettant en scène des individus qui vont, pour la plupart, être broyés au gré de ce récit, psychologiquement, socialement, ou physiologiquement.
Telle une machine infernale, l’écrivain met en place les rouages qui vont prendre les êtres entre leurs mâchoires. Même si certaines interférences entre ces personnages sont parfois peu crédibles, il faut reconnaître à Patrick S. Vast un talent rare : son style littéraire est inimitable et ses histoires rapidement reconnaissables. Peu d’écrivains peuvent se targuer d’une telle qualité, raison pour laquelle il est difficile de bouder son plaisir.