Et c'est ainsi que nous vivrons

(Fly Over)

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  • 4/10 Bon bien, cela ne sert à rien d’attendre plus longtemps, j’ai décidé avec moi-même que je ne finirais pas ce roman, n’insistez pas c’est non.
    C’étais un roman à l’écoute et c’est la première fois et j’espère la dernière fois que je ne vais au bout de ce genre de lecture. Je ne peux pas, je ne peux plus, l’ennui m’as gagné, il est le plus fort.
    J’ai essayé plusieurs fois, c’est un bouquin que j’ai commencé début février et j’avais décidé presque à mi-parcours de le reposer un temps et de le reprendre ensuite. Rien à faire je n’y arrive pas. J’ai essayé plusieurs fois et j’en suis arrivé presque à la fin d’ailleurs, me reste deux heures d'écoutes à peu près mais je n’ai vraiment pas envie de l’entendre. Je m’avoue vaincu.
    Bon cela faisait longtemps que je n’avais pas lu Douglas Kennedy mais je me rappelle qu’avec ses deux premiers romans « Les désarrois de Ned Allen » et « Cul de sac », j’avais passé de très bons moments, bon mais voilà c’était il y a plus de vingt ans. Depuis, il a sorti essentiellement des lectures dites blanches, et donc pour une fois qu’il revenait vers le noir limite thriller, je me suis dit banco.
    Une histoire plutôt alléchante d’après le pitch, une dystopie made in America, mais bon vous le savez maintenant, çà a fait plouf, noyé au second degré le Patoche.
    La seule chose que l’on ne peut pas reprocher à l’auteur, c’est que c’est bien écrit mais l’histoire pfttttttttt….
    Pas d’engouement, pas d’empathie, pas de rythme, intérêt minime, pas grand-chose à m’accrocher, tout m’a laissé froid de chez glacé, enfin bref je suis passé complètement à côté.
    Enorme déception.

    16/04/2024 à 15:49 patoche77 (292 votes, 7.6/10 de moyenne) 2