Blue Jay Way

8 votes

  • 7/10 Thriller impeccable mais roman bizarre. Trop de longueurs à mon sens qui m'ont étourdies sur certains passages et de plus je n'ai pas senti le personnage de Julien...Avis mitigé donc et un vote assez compliqué à exprimer...

    08/04/2017 à 21:19 joss (92 votes, 7/10 de moyenne) 4

  • 7/10 Ecrit dans un style pur et réaliste, parfois trash, Blue Jay Way met en scène une Los Angeles maléfique, à l'atmosphère lourde, une ville diabolique qui semble irréductiblement attirer ses habitants vers le vice. Les scènes de sexe violent, de soirées dissolues et l'oisiveté de la jeunesse dorée d'Hollywood constituent un clin d’œil insistant à l'œuvre de Bret Easton Ellis, la provocation en moins.

    S'il ne plaira certainement pas à tout le monde, Blue Jay Way est un excellent roman ultra contemporain dont le final vous mettra une claque en pleine figure.

    10/05/2015 à 00:38 chouchou (597 votes, 7.6/10 de moyenne) 2

  • 9/10 Excellent roman de Fabrice Colin qui signe un thriller sombre et torturé. très addictif!

    04/01/2013 à 22:42 Deidre (34 votes, 6.9/10 de moyenne) 3

  • 8/10 roman sombre et vénéneux Blue Jay Way fait la part belle au doute,au mensonge,à la paranoïa et à la manipulation.
    une réussite

    02/12/2012 à 16:41 Fab (800 votes, 8/10 de moyenne) 3

  • 8/10 morceau de blog :)
    Tellement de remous et de références furent consciencieusement élaborés lors de la promotion de l’ouvrage. Sans triche, j’ai choisi de ne pas lire les chroniques judicieuses déjà lâchées. A la place, j’ai opté pour entrée en matière, histoire de bien faire mes devoirs et de m’imprégner, par écouter la fameuse chanson des Beatles. Certains que je l’ai eu mon aperçu de l’ambiance à venir. Peu d’enthousiasme, sombre. Et surtout ! Ah ça oui ! De la fumette, des rails, du breuvage alcolisé premier de classe en pourcentage et du haut niveau de performance olympique sexuelle tous genres confondus.
    Synthèse
    Julien, un français à NY, hère dans un brouillard aux odeurs de mort et de paranoïa. Il cherche du regard l’enseigne qui le dirigerait sur le chemin de la compréhension des tenants et aboutissants du décès de son père le 11/09/2001. L’écriture reste son souffle de vie. Son intérêt pour Carolyn Geritsen, écrivain américain, persiste. Cela lui permet de la rencontrer et poursuivre son étude appropriée sur l’auteur. En 2005, elle lui propose un boulot étrange et alléchant pécuniairement parlant. Etre le précepteur de son fils Ryan à LA dans la somptueuse villa Blue Jay Way.

    Avis

    Au départ:"J'ai commencé Blue Jay Way. Ces lignes me rappellent combien je me sens bête d'avoir rechercher une autre dimension en m'imbibant de quelques "chopes" pour retrouver l'invincibilité, la facilité de paroles pour participer à l'ambiance d'une fête ou encore l'oubli de futilité. Ce bouquin, cette prose est son équivalent générique sans la mythique gueule de bois en compensation. Quel plaisir. Sur ce, je retourne me saouler..."


    Pendant: "Un ouvrage qui évolue en douceur, un traumatisme qui laisse un personnage entre deux eaux. La solitude et en même temps l'évitement de celle-ci ..."

    Après:
    Le doute couvre l’ouvrage. Les certitudes se balayent. La réalité et son contraire se braquent. Le rêve américain et sa face pseudo cachée transpirent la manipulation ouverte et quotidienne. Un ton, une ambiance maussade perdure. Proche d’un Bret Easton Ellis en partie pour la décortication de la vie à LA, en plus allégé toutefois (je pense à Moins que zéro et surtout American psycho) et beaucoup plus agréable.
    La surprise est au rendez-vous-même si elle tarde à venir. Le dénouement reste vague dans le sens où l’auteur laisse les portes ouvertes à l’interprétation personnelle du lecteur. Pas de fin classique donc. Place aux questionnements. On retrouve là la touche de l’auteur qui aime jouer avec les sens des lecteurs.
    Celui qui découvre le livre sera somme toute marqué par l’atmosphère déprimante, présentée avec excellence dans un décor mythique qu’est L.A. Une intrigue très intelligente et une fin moins surprenante qu’énigmatique. Un auteur éclectique brillant. Très belle découverte et surtout merci pour ce cadeau.

    18/11/2012 à 21:11 ChrisMo (8 votes, 7.1/10 de moyenne) 3

  • 8/10 Plutôt que d'être une fable sur le côté sombre de la vie Hollywoodienne, Blue Jay Way est avant toutes choses une histoire de destins. Peut être là la seule et unique étiquette que l'on peut coller au livre, DESTINS.
    Et c'est en cela que je trouve beaucoup de points communs entre ce roman et un autre du même éditeur : Seul le silence de RJ Ellory.
    Les deux histoires sont difficiles à ranger dans un genre bien particulier et ils évoquent un personnage plein d'humanité mais empreint d'une grande naïveté, dont le destin n'est plus véritablement entre ses mains. Ils jouent aussi avec le point de vue du narrateur qui va raconter sa vie dans un livre, livre dont on se retrouve finalement à tourner les pages.

    20/02/2012 à 20:42 Fredo (1150 votes, 7.9/10 de moyenne) 2

  • 7/10 Une plongée jouissive dans les méandres de l'Holywood des milliardaires, ou la jeunesse dorée ne vie que pour l’excès et l'abus, là ou le "trop" n’existe pas. Une jeunesse qui a pour mode de vie: "sex drugs, manipulation et rock'n'roll" !

    25/01/2012 à 23:54 OttisToole (283 votes, 7.1/10 de moyenne) 3

  • 9/10 Un plongeon dans la folie...
    Un plongeon dans la paranöia...
    Un plongeon dans nos cauchemars...
    Un plongeon dans le passé...
    Un plongeon dans les méandres de los Angeles....

    17/01/2012 à 14:10 voxac30 (147 votes, 7.8/10 de moyenne) 3