Jack l’Éventreur fait piètre figure à côté du meurtrier de ce roman, dans lequel le lecteur découvre avec effroi les bas-fonds new-yorkais de la fin du XIXe siècle.
« Si notre tueur respectait son calendrier, quel qu’il fût, il frapperait bientôt une nouvelle fois. »
Mars 1896. Un meurtrier sème des cadavres d’adolescents atrocement mutilés dans les rues de New York sans provoquer la moindre réaction. Révolté par cette indifférence, Theodore Roosevelt, alors préfet de police, fait appel à Laszlo Kreizler, spécialiste des maladies mentales, et John Moore, chroniqueur criminel. Leur méthode est atypique : en étudiant les meurtres, ils tentent de brosser le portrait psychologique du tueur afin de le devancer dans ses funèbres desseins. Mais la découverte d’une nouvelle victime les entraîne bientôt dans une course contre la montre dans laquelle se confondent chasseur et proie.
« Un monde digne d'Eugène Sue. Avec l'ombre de Sherlock Holmes qui plane, non loin de celle de Jack l'Éventreur. » (Télérama)
1er livre de la série L'Alieniste
Anthony Award du meilleur premier roman (1995), Grand Prix de Littérature Policière (roman étranger) (1996), Prix Mystère de la Critique du Meilleur Roman étranger (1996)
On en parle sur le forum : L'aliéniste de Caleb Carr
Soumis le 11/05/2005 par Fredo