Le fils du Kaiser échappe à la mort

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  • 4/10 C’est par un pur hasard que le policier Pinson surprend une conversation entre deux Allemands où il est question du prince Aldabert d’Allemagne, le propre fils du Kaiser, qui viendra visiter la pension Pascal. Et c’est également un hasard (sa montre qui ne fonctionne plus) qui lui fait rencontrer un horloger d’origine allemande et aussi aimable qu’une mâchoire de crocodile.
    Une histoire assez simple, presque simpliste vu les raccourcis empruntés par l’auteur dès l’entame de son récit, et qui ne m’a pas provoqué de sentiments particuliers. Ce fut agréable à lire, c’est sûr, mais cette nouvelle manque à mon sens d’originalité, de tension. Et que dire de ce titre comme de l’image d’illustration qui fusillent littéralement le suspense ! Seul point amusant : la mention anecdotique de cette pension Pascal, évoquée également dans « La Vengeance du Persan » du même auteur.

    hier à 18:17 El Marco (3648 votes, 7.2/10 de moyenne)

  • 5/10 Un voyage incognito d'un prince allemand dans la capitale d'après de jeunes allemands pensionnaires à la pension Pascal (déjà croisée dans La Vengeance du Persan du même auteur)... un horloger nouvellement installé qui refuse toute clientèle... et un titre qui en dit (une fois encore) trop. Une nouvelle plaisante à suivre mais cousue de fil blanc.

    07/02/2023 à 20:54 LeJugeW (1869 votes, 7.3/10 de moyenne)