« Vous êtes mourant » : c’et ainsi qu’une docteure annonce le terrible diagnostic à Miles Cookson, un homme qui a fait fortune dans le domaine des applications. La maladie de Huntington le condamne à une échéance assez brève, aussi Cookson décide-t-il de faire du tri dans son existence, notamment en se mettant en relation avec les neuf enfants qu’il a eus après avoir donné, il y a longtemps, son sperme pour financer ses premiers travaux informatiques. Mais le sort semble s’acharner sur lui : deux tueurs ont commencé à éliminer ses descendants, prenant bien soin d’effacer au passage toute trace de leur ADN.
Linwood Barclay est un auteur célèbre et acclamé, tant par le public que par la critique, et ce nouveau thriller souligne, une fois de plus, son immense talent. L’intrigue s’appuie sur un pitch original et fort, et le récit est sacrément marquant. On suit ainsi la quête de Miles Cookson, espérant renouer, pour le peu de temps qu’il lui reste à vivre, avec ses enfants qui ignorent tout de lui, tout en souhaitant leur faire pratiquer un test génétique pour voir s’ils sont porteurs de cette atroce maladie dont il a commencé à ressentir les premiers symptômes. Le scénario est solide, la mécanique brillamment huilée, et on ne peut qu’être enchanté par les nombreux rebondissements de l’histoire ainsi que par l’arborescence de cette dernière. Qui sont Kendra et Rhys qui pourchassent et tuent les rejetons ? Qui les a engagés ? Que manigance Jeremy Pritkin, nabab new-yorkais suffisamment tordu pour séquestrer une jeune femme, Nicky, à son domicile ? Les pièces du puzzle apparaissent avant de trouver un agencement final particulièrement inattendu et retors, et, même si quelques éléments semblent un peu trop appuyés ou hollywoodiens, l’ensemble est intelligemment mis en scène jusqu’à l’épilogue, où l’émotion se mêle à une subtile dose d’humour.
« Vous êtes mourant » : c’et ainsi qu’une docteure annonce le terrible diagnostic à Miles Cookson, un homme qui a fait fortune dans le domaine des applications. La maladie de Huntington le condamne à une échéance assez brève, aussi Cookson décide-t-il de faire du tri dans son existence, notamment en se mettant en relation avec les neuf enfants qu’il a eus après avoir donné, il y a longtemps, son sperme pour financer ses premiers travaux informatiques. Mais le sort semble s’acharner sur lui : deux tueurs ont commencé à éliminer ses descendants, prenant bien soin d’effacer au passage toute trace de leur ADN.
Linwood Barclay est un auteur célèbre et acclamé, tant par le public que par la critique, et ce nouveau thriller souligne, une fois de plus, son immense talent. L’intrigue s’appuie sur un pitch original et fort, et le récit est sacrément marquant. On suit ainsi la quête de Miles Cookson, espérant renouer, pour le peu de temps qu’il lui reste à vivre, avec ses enfants qui ignorent tout de lui, tout en souhaitant leur faire pratiquer un test génétique pour voir s’ils sont porteurs de cette atroce maladie dont il a commencé à ressentir les premiers symptômes. Le scénario est solide, la mécanique brillamment huilée, et on ne peut qu’être enchanté par les nombreux rebondissements de l’histoire ainsi que par l’arborescence de cette dernière. Qui sont Kendra et Rhys qui pourchassent et tuent les rejetons ? Qui les a engagés ? Que manigance Jeremy Pritkin, nabab new-yorkais suffisamment tordu pour séquestrer une jeune femme, Nicky, à son domicile ? Les pièces du puzzle apparaissent avant de trouver un agencement final particulièrement inattendu et retors, et, même si quelques éléments semblent un peu trop appuyés ou hollywoodiens, l’ensemble est intelligemment mis en scène jusqu’à l’épilogue, où l’émotion se mêle à une subtile dose d’humour.
Encensé par Stephen King, ce nouvel opus de l’écrivain qui a signé, entre autres, Fenêtre sur crime, Celle qui en savait trop, Du Bruit dans la nuit ou encore la série Promise Falls, nous régale d’un bout à l’autre.