Constantin et les quarante canards

Mi-polar, mi-roman d'aventure, la saga de Constantin le Grec a démarré en 1998 avec Le baiser du congre. Au travers des tribulations d'un baroudeur au grand coeur qui lui ressemble comme un frère, Del Pappas raconte un demi-siècle de l'histoire de Marseille avec une sincérité gourmande qui explique le succès de cette série, désormais publiée chez Après la Lune. 1985. Marseille pleure son maire Gaston Defferre. Constantin, lui, pleure sa girelle, Anaïs. Celle-ci, avec qui il venait tout juste de jeter l'ancre dans le port de l'Estaque, a disparu. Constantin le voyageur reprend son sac et la route. Sa quête le conduit à New York, la grande ville cosmopolite où il vécut autrefois, et qui lui rappelle par certains côtés Marseille. Il va se trouver confronté à des tueurs latinos sauvages, un chauffeur de taxi déjanté, un fou de John Lennon et une tripotée de canards caquetants.

Roman noir

17e livre de la série Constantin

On en parle sur le forum : Les romans de Gilles Del Pappas

Soumis le 19/06/2011 par Hoel

Proposer des corrections

Mots-clés

Si vous avez aimé ce livre, vous aimerez aussi...

Aucune suggestion pour l'instant.