Dans la proche périphérie de Rouen, le cadavre d’une jeune femme est découvert. La malheureuse a été victime d’un nombre effrayant de coupures, et son cerveau a été prélevé. C’est le commissaire Hyacinthe Téodovna, fraîchement promue en Seine-Maritime, qui est chargée de l’affaire. Grâce à son équipe de policiers et au médecin légiste, elle va affronter un terrible tueur en série qui n’a vraiment pas envie de raccrocher le scalpel.
Premier ouvrage d’Aude Lhôtelais, ce thriller constitue un très agréable moment de lecture. Le style de l’auteur est frais et savoureux, et c’est toujours un véritable plaisir que de voir éclore une nouvelle fleur dans le domaine littéraire. Rapidement, le lecteur est pris par l’intrigue et ne la lâche plus. Hyacinthe Téodovna, comme personnage principal, est attachante, perspicace et persévérante. Au cours de ce roman, on en apprend un peu de son enfance, et il y a fort à parier que d’autres opus mettant en scène cette jeune femme viendront. Le scénario est également très bien imaginé ; si les premiers jalons de l’enquête semblent un peu convenus, la suite des événements vient contredire cette impression. Le modus operandi de l’assassin est assez effrayant, ses motivations sont atypiques, et de très nombreux rebondissements en fin de roman vraiment palpitants, et ce jusque dans l’ultime page. Par ailleurs, même si on sent nettement l’influence d’autres auteurs anglo-saxons dans l’élaboration de l’histoire, Aude Lhôtelais démontre son talent grâce à une plume très personnelle et surtout, grâce à une vraie maîtrise des rouages du thriller. Les protagonistes sonnent de manière crédible et l’enquête est suffisamment longue et tortueuse pour paraître véridique.
Même si le titre de ce roman peut sembler assez banal, son contenu est une réussite. Il est toujours émouvant, un peu comme lorsqu’on assiste à une naissance, de voir apparaître un nouvel auteur, et ce d’autant plus lorsque cet écrivain est talentueux. Assurément, Aude Lhôtelais mérite bien des encouragements ainsi que des félicitations.
Dans la proche périphérie de Rouen, le cadavre d’une jeune femme est découvert. La malheureuse a été victime d’un nombre effrayant de coupures, et son cerveau a été prélevé. C’est le commissaire Hyacinthe Téodovna, fraîchement promue en Seine-Maritime, qui est chargée de l’affaire. Grâce à son équipe de policiers et au médecin légiste, elle va affronter un terrible tueur en série qui n’a vraiment pas envie de raccrocher le scalpel.
Premier ouvrage d’Aude Lhôtelais, ce thriller constitue un très agréable moment de lecture. Le style de l’auteur est frais et savoureux, et c’est toujours un véritable plaisir que de voir éclore une nouvelle fleur dans le domaine littéraire. Rapidement, le lecteur est pris par l’intrigue et ne la lâche plus. Hyacinthe Téodovna, comme personnage principal, est attachante, perspicace et persévérante. Au cours de ce roman, on en apprend un peu de son enfance, et il y a fort à parier que d’autres opus mettant en scène cette jeune femme viendront. Le scénario est également très bien imaginé ; si les premiers jalons de l’enquête semblent un peu convenus, la suite des événements vient contredire cette impression. Le modus operandi de l’assassin est assez effrayant, ses motivations sont atypiques, et de très nombreux rebondissements en fin de roman vraiment palpitants, et ce jusque dans l’ultime page. Par ailleurs, même si on sent nettement l’influence d’autres auteurs anglo-saxons dans l’élaboration de l’histoire, Aude Lhôtelais démontre son talent grâce à une plume très personnelle et surtout, grâce à une vraie maîtrise des rouages du thriller. Les protagonistes sonnent de manière crédible et l’enquête est suffisamment longue et tortueuse pour paraître véridique.
Même si le titre de ce roman peut sembler assez banal, son contenu est une réussite. Il est toujours émouvant, un peu comme lorsqu’on assiste à une naissance, de voir apparaître un nouvel auteur, et ce d’autant plus lorsque cet écrivain est talentueux. Assurément, Aude Lhôtelais mérite bien des encouragements ainsi que des félicitations.