Jumelles, sosies ou machination sordide, il y a une Gisèle de trop... On retrouve le style propre à Philippe Carrese avec des personnages hauts en couleurs : le caïd minable qui croit jouer dans la cour des grands, ses acolytes maladroits à l’origine des pires catastrophes, une grande bourgeoise marseillaise (la mère de Gisèle) snob et ridicule, etc. Le personnage de Pindur, lui, est beaucoup plus complexe, partagé entre sa fidélité à son patron et son admiration naissante pour le cran de Gisèle.
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Soumis le 29/04/2011 par Hoel