Barry Donovan, flic de New York, discute depuis plusieurs mois sur Internet avec un certain Werner Von Lowinsky. Une réelle complicité s'est développée entre les deux hommes, au point que chacun attend avec impatience la fin de la journée pour échanger avec l'autre. Mais Barry ignore que derrière son nouvel ami se cache en réalité un vampire né au milieu du XIXe siècle...
Avec ces Vestiges de l'aube, David S. Khara, auteur fin 2010 du remarqué Projet Bleiberg, s'attaque donc au mythe des vampires. Déjà publié l'année dernière aux éditions Rivière Blanche, le roman est aujourd'hui réédité par Michel Lafon dans une version plus aboutie, David S. Khara ayant retravaillé son texte et ajouté des chapitres.
Et le résultat s'avère plutôt convaincant, ce thriller tenant assez facilement le lecteur en haleine. En mêlant polar et fantastique, l'auteur nous propose également une histoire d'amitié intéressante et peu conventionnelle entre ces deux personnages que tout oppose. Même si l'intrigue policière aurait gagné à être plus travaillée et si les héros manquent un peu d'épaisseur psychologique, Les Vestiges de l'aube reste divertissant et ces quelque 250 pages se lisent sans déplaisir. La fin du roman introduisant déjà certains enjeux d'un prochain tome, le lecteur sera très certainement impatient de retrouver Werner et Barry dans de nouvelles aventures.
Barry Donovan, flic de New York, discute depuis plusieurs mois sur Internet avec un certain Werner Von Lowinsky. Une réelle complicité s'est développée entre les deux hommes, au point que chacun attend avec impatience la fin de la journée pour échanger avec l'autre. Mais Barry ignore que derrière son nouvel ami se cache en réalité un vampire né au milieu du XIXe siècle...
Avec ces Vestiges de l'aube, David S. Khara, auteur fin 2010 du remarqué Projet Bleiberg, s'attaque donc au mythe des vampires. Déjà publié l'année dernière aux éditions Rivière Blanche, le roman est aujourd'hui réédité par Michel Lafon dans une version plus aboutie, David S. Khara ayant retravaillé son texte et ajouté des chapitres.
Et le résultat s'avère plutôt convaincant, ce thriller tenant assez facilement le lecteur en haleine. En mêlant polar et fantastique, l'auteur nous propose également une histoire d'amitié intéressante et peu conventionnelle entre ces deux personnages que tout oppose. Même si l'intrigue policière aurait gagné à être plus travaillée et si les héros manquent un peu d'épaisseur psychologique, Les Vestiges de l'aube reste divertissant et ces quelque 250 pages se lisent sans déplaisir. La fin du roman introduisant déjà certains enjeux d'un prochain tome, le lecteur sera très certainement impatient de retrouver Werner et Barry dans de nouvelles aventures.