Leslie Lawl fait partie de ces polars qu'il est agréable de lire, parce qu'il est différent de tout ce qu'on a pu lire avant. Le thème du privé désabusé a beau avoir déjà été traité dans tous les romans noirs américains, il est ici abordé sous un angle plus frais, plus moderne et plus original.
Si l'histoire racontée réserve quelques rebondissements, ce n'est sans doute pas par son intrigue que ce roman se démarque. L'enquête d'Adam, le privé New-Yorkais, n'est pas des plus rythmées ou des plus dynamiques. Mais l'histoire n'est en fait qu'un prétexte à une réflexion sur l'identité, les origines et les relations entre les êtres, le tout sur fond de physique quantique.
Leslie Lawl est donc un roman qui se lit lentement, en savourant davantage les mots, l'atmosphère des lieux et les sentiments des personnages que l'intrigue en elle-même.
Un roman à ranger dans sa bibliothèque à côté de ceux de Fred Vargas, plutôt qu'à côté des Grangé et Chattam.
Leslie Lawl fait partie de ces polars qu'il est agréable de lire, parce qu'il est différent de tout ce qu'on a pu lire avant. Le thème du privé désabusé a beau avoir déjà été traité dans tous les romans noirs américains, il est ici abordé sous un angle plus frais, plus moderne et plus original.
Si l'histoire racontée réserve quelques rebondissements, ce n'est sans doute pas par son intrigue que ce roman se démarque. L'enquête d'Adam, le privé New-Yorkais, n'est pas des plus rythmées ou des plus dynamiques. Mais l'histoire n'est en fait qu'un prétexte à une réflexion sur l'identité, les origines et les relations entre les êtres, le tout sur fond de physique quantique.
Leslie Lawl est donc un roman qui se lit lentement, en savourant davantage les mots, l'atmosphère des lieux et les sentiments des personnages que l'intrigue en elle-même.
Un roman à ranger dans sa bibliothèque à côté de ceux de Fred Vargas, plutôt qu'à côté des Grangé et Chattam.