Férey et Couronne ont en commun une salutaire manière de tordre le cou aux bonnes manières romanesques. Ces quatre textes peuvent se lire comme les fragments d’une même « effervescence organique ». La Marie de Fond de cale, c’est un peu le double de la Zita de La Décalcomanie. L’une réussit son suicide, l’autre le rate et réussit à vivre, en portant en elle les pépites dhumanité qui font défaut à l’autre.
Il ne semble pas encore y avoir de sujet sur cet ouvrage sur le forum... Cliquez ici pour en créer un !
Soumis le 29/10/2021 par LeJugeW