Chroniques de l'éphémère

Une ligne noire ondule sous le pinceau d’Edmond Baudoin. Le trait évolue sur la feuille blanche dessinant quelques formes indescriptibles. D’ample, le geste devient plus précis, l’épaisseur du trait ne cesse d’évoluer.

« Tu vois, me dit Edmond, le trait du pinceau change au cours de mon tracé, comme un changement de musique. C’est de cette façon que je donne vie à mon dessin ». Et je vois apparaître une danseuse sur cette feuille blanche. Sortie de nulle part, elle ondule sur le rythme d’une danse mystérieuse.
Maître dans le maniement du pinceau et de l’encre noire, la qualité essentielle d’Edmond Baudoin est son aptitude à retranscrire la vie. Sous sa main, les corps transpirent, se tordent, se fondent avec l’expression la plus naturelle du vivant.

Non polar

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Soumis le 09/10/2021 par El Marco

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