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7/10 Tout naturellement, lorsqu’on est le storyboarder de Cédric Klapisch, on imagine des histoires pour le cinéma. Mais c’est finalement en 496 pages que les lecteurs découvriront qui a tué Stéphanie, dans cette chambre d’hôtel sordide. Le choix d’une structure en petits chapitres de planches sans cases ajoute de la fluidité à la lecture.
Le découpage du récit est très cinématographique : rapide, tranché. Les dialogues sont parfois crus. Et il y a aussi une histoire de steak haché… ?? Si si^^13/02/2022 à 20:57 Fab (882 votes, 8/10 de moyenne)