L'Inconnue de la Seine

6 votes

  • 7/10 Un bilan de fin de lecture un brin mitigé....
    Une première partie de roman vraiment captivante que j'ai adoré, mais par la suite, et pour la première fois depuis que je le lis, je me suis égaré dans ce final un peu trop attendu et à la thématique à laquelle je n'ai pas du tout accroché

    28/11/2022 à 13:35 Rod (95 votes, 7.8/10 de moyenne)

  • 7/10 Un bon Musso. J’ai vraiment apprécié la première partie du livre, le mystère, les descriptions de Paris, les personnages mais moins aimé la partie où l’on découvre la vérité. J’ai trouvé cette dernière plus bâclée, tirée par les cheveux (une habitude chez les auteurs français, désolé) et des personnages dont on ne sait pas ce qu’ils sont devenus, dommage!
    Sinon le roman rempli bien son rôle et tient en haleine le lecteur sans temps mort.
    Page turner efficace.

    05/10/2022 à 08:04 boumkoeur (250 votes, 8.5/10 de moyenne) 1

  • 6/10 J'avais bien apprécié Central Park du même auteur et L'Inconnue de la Seine me semblait assez proche dans le synopsis, bien que le décor soit cette fois-ci parisien et non new-yorkais : le héros est une héroïne, il est encore question d'amnésie etc... Mais cette fois-ci j'ai moins accroché, notamment tout ce qui touche aux délires mystiques liés aux cultes de Dionysos. Je n'ai pas apprécié le "french bashing" des premiers chapitres (à écouter Musso nous sommes dans un pays en pleine déliquescence, j'exagère à peine...). Je n'ai pas apprécié la fin non plus. Il n'en demeure pas moins que l'auteur sait y faire dans la gestion du rythme et du suspense. J'ajoute que je n'ai rien à redire à la lecture (livre audio) de Rémi Bichet.

    11/09/2022 à 12:29 LeJugeW (1815 votes, 7.3/10 de moyenne) 1

  • 8/10 Quel raconteur d'histoires ! Personne ne peut dire le contraire : tu commences Musso et tu es happé immédiatement.
    Il ne sera probablement pas un auteur étudié à l'école pour ses allitérations sonnantes, ses métonymies subtiles, ses synecdoques savoureuses ou antiphrases éclairantes, mais pour sa construction de récit, il est indéniablement redoutable !
    Et je critique, je critique, mais j'ai aussi l'honnêté de dire que je ne lui arriverai jamais à l'épaisseur de sa plante de pied en quelque figure de style que ce soit.

    Maintenant que j'ai dit ça, je précise un énorme point noir sur certains passages : il sait qu'il a de très très nombreux lecteurs et donc il en profite pour faire passer des messages. Il semble s'être fait plaisir. Et ça m'a gêné. Il défonce la maire de Paris à chaque chapitre durant la première partie ! Paris est ici décrite comme sale, peu accueillante, délabrée, à l'abandon. Délaissée par les touristes avertis. Je ne vis pas à Paris, mais j'ai trouvé ça puérile et un peu gratuit. Limite... politique. C'est peut être vrai, mais il y avait d'autres moyens de faire passer ce sentiment sur cette ville. Avec des figures de style par exem.. ho wait!

    Hormis ça, l'histoire va vite. Parfois, un peu trop. Trop facile, même. Les situations s'enchaînent bien mais sont un peu trop expéditives. Il laisse le plausible de côté. Il ne s'embarrasse pas des agissements de ses propres personnages et les fait emprunter les chemins qui arrangent son rythme. Un peu comme un jeu vidéo aux cinématiques calibrées avec des conversations qui se terminent sèchement puisque les concepteurs savent que plus serait superflu. Par exemple, il vire une stagiaire en 2 lignes sans ménagement dès sa première apparition mais comme sa présence est utile (et ça se sent venir 3 livres à l'avance !), il la fait réapparaître aux besoins de notre héroïne, puis disparaître soudainement. Tel le trombone Word dans la suite Office 95 (ok boomer !) Des tonnes de questions sur le pourquoi d'une telle situation ne trouveront jamais aucune réponse. D'aucuns diront qu'il faut se laisser porter par l'histoire mais là, même moi qui d'habitude y arrive bien, j'ai été chagriné.

    Pour le reste (oui, parce qu'il y a un gros reste et que là, j'avoue que je n'ai pas bien vendu l'affaire), c'est du tout bon !
    Les questions sont très bonnes. Les pistes suivies le sont toutes autant. Les personnages, bien que de surface très longtemps, sont attachants car troublants. Tous !
    D'ailleurs, ce qui est agréable, c'est qu'ils ne sont pas nombreux donc on maîtrise les ramifications qui servent l'épaisseur de l'histoire.
    Il part sur du fantastique pour basculer vers le réel. Et ça, j'aime ! Pas de faux-semblant ou de porte dérobée fantastique et trop facile. Un peu à la Thilliez (c'est un compliment, mais notez quand même bien le "un peu", sans quoi, je vous aurais autorisé à m'envoyer des cailloux)
    L'univers - que je ne devoilerai évidemment pas ici car il fait tout le charme de l'histoire lors de son devoilement - est bien traité et on apprend des choses.

    Encore un bon Musso, maître es story-telling, auquel j'attribue un festif 8/10 dans mon échelle de goût car l'histoire m'a vraiment captivé, pile calquée sur le calendrier de Noël, donc dans mon actualité !

    27/12/2021 à 15:57 athanagor (292 votes, 7.8/10 de moyenne) 5

  • 8/10 L'inconnue de la Seine est une belle jeune femme retrouvée noyée en 1901 dont on a moulé le paisible visage. Ce masque mortuaire a été vendu à des milliers d'exemplaires et a servi de modèle pour les mannequins de réanimation en médecine.
    Ce fait historique, qui m'était inconnu, a inspiré Guillaume Musso pour son dernier ouvrage. Après le petit ratage (à mon humble avis) qu'était son précédent titre, "la Vie est un roman", Musso renoue avec la réussite grâce à cette "Inconnue de la Seine" dotée de personnages attachants, d'un scénario machiavélique à souhait et d'un suspense redoutable. Au programme : mythologie et théâtre d'un genre un peu particulier...
    Beaucoup aimé ce roman qui va forcément nous offrir une suite compte tenu de sa fin qui n'en est pas une.

    24/10/2021 à 07:17 Ironheart (848 votes, 7.4/10 de moyenne) 3

  • 6/10 P’tite histoire gentillette et un peu trop prévisible à mon goût. De bonne idées mais peut mieux faire

    22/10/2021 à 20:51 guimouts (428 votes, 7.8/10 de moyenne)