Yves Haubert, ingénieur jurassien qui cherche un sens à sa vie, débarque au Cameroun pour travailler au sein d’une ONG.
Dès son arrivée il est agressé et dépouillé par des voyous. Ses ennuis ne font que commencer puisque, pour des raisons qui lui échappent, il est soupçonné par le directeur de la gendarmerie et par un colonel à la tête d’une officine gouvernementale, de mener des actions subversives contre le Cameroun. Lavé de ses accusations, il est arrêté par les gendarmes pour une histoire de trafic de stupéfiants.
L'attaché de sécurité intérieure près de l’ambassade de France et une avocate, parviennent à l'innocenter. L'ingénieur va enfin pouvoir rejoindre son poste, dans l'ouest du pays. Il y découvre que son prédécesseur a été enlevé par des sécessionnistes anglophones à la solde d'un certain Bishop, personnage aussi exalté que sanguinaire qui n'est pas sans rappeler le colonel Kurtz, héros d'Apocalypse Now.
Wahala est un mot de pidgin, créole anglophone parlé dans certaines régions du Nigeria et du Cameroun. Il trouve ses origines dans le Haoussa, langue vernaculaire africaine, elle-même inspirée par l'arabe. Wahala signifie « malheur, peine, peur, terreur ".
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Soumis le 04/07/2021 par LeJugeW