«J'ai d'abord cru que ma profession de fabricant de polars me flanquait des hallucinations. Ma garce de femme que je rencontre inopinément chez un vieux politicard vicelard. Des meurtres qui me paraissent gratuits, et qu'on me colle sur le dos. Est-ce que je vis ou est-ce que je rêve un roman de mon invention ? Et quand j'ai compris, enfin, que je portais le chapeau pour une histoire de chantage politico-truandesque, il était presque trop tard.»
On en parle sur le forum : Les romans d'A.D.G.
Soumis le 27/09/2009 par Yukio