Paris, mon amour

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  • 6/10 Eté 1944. Même si les combats demeurent violents, la victoire semble se dessiner dans ce dernier tome de la saga. Un commando français essuie de lourdes pertes lors d’une intervention, et le sergent-chef Ferdinand Meunier est le seul rescapé. On lui confie alors une mission : « neutraliser une bombe de la désintégration », comprenez une arme nucléaire, avec d’autres soldats. Mais il y découvrira d’abord l’horreur des camps de concentration. Un scénario assez foutraque, qui mêle plusieurs histoires et ne s’est pas montré crédible à mes yeux (notamment l’assaut du camp), mais qui se rattrape amplement par la suite, avec un événement historique (ça reste une uchronie, bien évidemment) inattendu ainsi que la logique de Ferdinand Meunier à propos du sacrifice, qui pose de légitimes questions et s’avère d’une rare humanité. Cependant, le fait que cette BD boucle la série me laisse un peu sur ma faim, parce que je m’attendais à quelque chose de plus marquant à ce niveau-là.

    18/06/2023 à 19:35 El Marco (3225 votes, 7.2/10 de moyenne) 1