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6/10 Les ingrédients sont les mêmes avec ce lointain cousin littéraire de John Strobbins, l'autre héros récurrent de José Moselli : un gentleman cambrioleur, un trésor convoité (ici de l'argent), déguisement/usurpation d'identité et une douce ironie qui parsème le récit. La guerre est finie mais on sent encore chez Moselli une germanophobie, très présente dans ses textes publiés pendant la guerre. Si l'on découvre l'auteur, le texte est indéniablement attrayant. Pour ma part, j'ai eu un sentiment de déjà-lu.
31/10/2021 à 18:07 LeJugeW (1806 votes, 7.3/10 de moyenne)