A-Ban-Soom, le tavernier de Chinatown

2 votes

  • 6/10 Un steamer revient de Singapour, et le capitaine Thomson s’entretient en toute discrétion avec A-Ban-Soon. Il faut dire que la cargaison est sensible : 6000 livres d’un opium de contrebande (à 15 dollars de l’époque la livre, ça en fait, de l’argent !), au lieu du riz, du charbon, de la poudre et du whisky comme il l’est indiqué aux douaniers. Heureusement, John Strobbins est là… Une nouvelle d’une trentaine de minutes d’écoute, agréable, sans grande fièvre ni passion. La première manipulation de Strobbins est tellement téléphonée qu’elle en devient d’une rare banalité (à moins que ça ne soit justement cette banalité qui la rend si téléphonée), sans compter pas mal de clichés sur les Chinois (alimentation, apparence, et parfois quelques remarques fort déplacées, mais mettons cela sur le compte de l’époque, le tout début du vingtième siècle). L’ensemble se laisse néanmoins lire (écouter en ce qui me concerne).

    01/04/2021 à 18:54 El Marco (3218 votes, 7.2/10 de moyenne) 1

  • 7/10 Courtier maritime le jour, gérant d'un "cabaret borgne" la nuit, A-Ban-Soom est un Chinois très occupé. D'autant plus qu'il fait de la contrebande d'opium...
    John Strobbins fera appel à sa ruse et à sa bande pour s'emparer des 6 000 livres d'opium caché dans le navire d'A-Ban-Soom, au prix d'un chantage dont il a le secret...
    Nouvelle très plaisante à suivre, typique de l'univers de John Strobbins.

    14/03/2021 à 19:02 LeJugeW (1769 votes, 7.3/10 de moyenne) 2